Change le monde

Opportunité de la crise globale 2020 :
Mieux comprendre la science, vivre avec l’incertitude et retrouver une forme d’humanisme. Edgard Morin
Dans un contexte de crise multidimensionnelle et totale comme nous ne l’avions jamais vu, toutes les personnes ont été touchées sans exception et les systèmes actuels politiques sociaux et économiques se révélent obsolètes.
Plus rien ne représente personne. Chacun se retrouve face à lui même et ne sait plus à quoi s’accrocher.
L’inclusion inversée, le DIY, DIT (Do it yourself et Do it together), la transparence et le partage sont les instruments que nous allons utiliser pour mener à bien notre métamorphose.

Renaissance fondamentale:
Changement de vision: la conscience fait se cristalliser la matière (Willis Harman)
Changement de technologie: le web open source (free software and hardware)

Redistribution , transparence et souveraineté:
L’association Changelemonde-Utopiamaker, au delà de sa gestion administrative, internationale et collégiale, n’est pas une organisation comme les autres.
Construite comme une porte ouverte à l’altérité, l’organisation est un espace vierge d’idéologie, un terrain fertile pour la création individuelle qui matérialise le bien commun. Il n’y a pas de sélection, pas de droit d’entrée ni d’exclusion.
1/ C’est une méthode qui cible une reconstruction radicale de la société recentrée sur l’humain.
2/ C’est un concept, l’inclusion inversée qui fait jaillir les raisons d’être de ceux qui souffrent du sentiment d’exclusion pour bâtir les fondements de la cité.
3/ C’est une toile en création/gestation, qui n’a d’autres limites que l’imagination de ses créateurs.
4/ C’est un contrat social
5/ C’est un réservoir d’instruments technologiques, sémantiques et économiques
6/ Ce sont des gens

Certains portent des projets individuels d’autres se regroupent autour de projets collaboratifs.
Quand ils le souhaitent, ils peuvent partager ce qui leur semble utile avec un autre membre et le publier ensemble dans le registre public des faiseurs d’Utopie.
Le bien commun n’a de sens que s’il est accessible à toutes les personnes quels que soient leurs appartenances ou organisations.
Chacun en fera l’usage qui lui convient pour lui même, l’organisation qui lui tient à cœur ou sa communauté.